Date: |
1999 |
Abstract: |
L'un des éléments sur lesquels se fondait la critique adornienne de la musique de Stravinsky relevait de cette fameuse «pseudomorphose de la musique sur la peinture»,' laquelle allait lui permettre non seulement de mettre l'accent sur le statisme de la musique du compositeur russe, mais aussi d'étendre cette lecture a la production musicale du second après-guerre. En effet, dans sa réactualisation de la critique stravinskienne, datant des années 60, le philosophe notait la proximité que lui paraissait entretenir la musique récente avec la musique de Stravinsky, bien qu'elle semblât dériver plus directement de celle de Schônberg: là aussi, la musique ne serait plus en mesure de satisfaire I' "obligation qu'elle a de devenir". |
Rights: |
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Language: |
Francès |
Document: |
Article ; recerca ; Versió publicada |
Published in: |
Enrahonar, 1999, p. 269-270 (Articles) , ISSN 2014-881X |